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"Libérez votre esprit, écoutez votre coeur"

Blog - Spirituel & Esotérique

La cité oubliée (partie 3)

Publié le 9 Décembre 2013

La cité oubliée (partie 3)

L'Europe livre aussi son sceau de secrets, derrière cette enveloppe de terre on peut imaginer une route menant vers des contrées qui transportent au-delà du physique. Le Pech de Bugarach et le Mont Epomeo sont tous les deux des balises naturelles posées dans le temps. Ils sont là pour nous indiquer le chemin spirituel que l'on se doit d'emprunter afin d'accueillir en nous une grande sagesse. Le premier est situé en France, région Languedoc-Roussillon dans le département de l'Aude (Massif des Corbières, Pyrénées), il est le point culminant de cette terre (1230 mètres). Du haut de son sommet le panorama est fantastique, il s'étend des Pyrénées à la montagne Noire et de la Méditerranée à la vallée de l'Aude. Le Pech de Bugarach est une curiosité géologique, en effet issue d'un plissement couché, les couches supérieures sont plus anciennes (135 millions d'années) que les couches inférieures (15 millions d'années), ce qui lui a valu le nom de « montagne inversée ». Cette curiosité géologique devrait donc soulever pas mal de questions, malheureusement le Pech de Bugarach est souvent ignoré ou raillé à l'image de la propagande contre productive de 2012. Mais ce roc solide n'a que faire des ignorants, la sagesse l'habite, le plus perdant dans l'histoire c'est l'homme.... Une fois de plus ! Car ce temple spirituel naturel abrite plus que l'imaginaire collectif, si il est vrai que c'est un haut lieu d'apparitions d'ovnis, c'est aussi un point tellurique extraordinaire et ce n'est pas un hasard si il est en plein coeur du pays Cathare. Le Mont Epoemo est le plus haut sommet de l'île volcanique d'Ischia, dans le golfe de Naples, en Italie. On pense qu'Epoemo est un horst volcanique. Avec une altitude de 789 mètres, il domine toute l'île d'Ischia, la plus grande partie du mont est recouverte de verdure, et quelques vignes occupent ses flancs, A environs 75 mètres du sommet, le mont est couvert de lave blanche. Un chemin du petit village de Serrara Fontana mène au sommet du mont. Pas de trace de fait ufologique sur le net concernant le Mont Epoemo, mais Salvatore Marino Lacono à écrit un livre sur ce sujet « Epoemo, figlio di Agarthi » (Epoemo, fils de l'Agartha), livre qui comporte plusieurs témoignages ufologiques, un bouquin à lire si on veut vraiment ouvrir toute les portes de son esprit.


L'Égypte marque l'esprit des hommes, le plateau de Gizeh est probablement l'un des sites archéologiques au monde qui reste une véritable énigme. La pyramide de Khéops et le Sphinx troublent pas mal de monde et soulèvent donc pas mal de questions. Comment ont-ils pu construire de tels édifices avec des moyens soi-disant rudimentaire ? Dans quel but et pourquoi ils ont réalisé un tel prodige ? Un documentaire français de Patrice Pooyard & Jacques Grimault "Révélation sur les pyramides" entre dans les détails de la construction de la pyramide de Khéops, ce doc démontre avec maestria que les hommes de cette époque n'avaient pas que des outils archaïques. En effet, l'architecture complexe de la pyramide de Khéops laisse à penser que l'homme de nos jours n'est pas capable de conduire un tel projet et beaucoup de hauts spécialistes en la question sont unanimes sur se sujet. Alors, les théories en tout genre abondent, une théorie loufoque nous explique que ce sont des extraterrestres qui auraient construit le site tout entier. Avoir l'esprit ouvert c'est bien, mais être lucide c'est mieux. Franchement, le peuple des étoiles doit avoir d'autres préoccupations que de faire de la maçonnerie, un E.T avec une truelle c'est pas crédible. Soyons sérieux, il y a du certainement avoir connexion entre la civilisation humaine de ce cycle et le peuple des étoiles, mais sans doute pour des choses plus métaphysiques. Ce sont des hommes qui ont réalisé ce prodige, uniquement les hommes. Le site de Gizeh représente la constellation d'Orion comme le site de Teotihuacan au Mexique, la grande question à se poser, au-delà de l'utilisation du mécanisme du plateau de Gizeh.... Pourquoi la constellation d'Orion revient aussi souvent dans l'histoire de l'humanité ? Le peuple des étoiles vient t-il d'Orion? Possible.... Revenons à nos chameaux, les Atlantes auraient légué en héritage aux Égyptiens un savoir spirituel essentiel pour atteindre l'illumination puis l’ascension. Mais, il semble plus sûr d'imaginer que tout cela se passait à la même époque et que de par ce fait, cette immense civilisation visait l'unité grâce à son haut niveau de conscience. En Égypte, il y avait les temples où les profanes recevaient un enseignement spirituel élevé, un enseignement qui permettait d'atteindre l'illumination pour tendre ensuite vers l'ascension, mais par quel moyen procédaient-ils pour s’ascensionner ? Peut-être qu'une fois l'illumination atteinte le futur être de lumière allait dans la pyramide de Kéhops, plus précisément dans la chambre du roi pour s'allonger dans l'hypothétique sarcophage décrit par l'archéologie bien pensante. Afin de recevoir l'énergie qui lui offrait ainsi la fin de son cycle incarnatoire, qui marquait aussi pour lui le début de l'éternité dans le cosmos et c'est sans doute là, qu’intervenait le peuple des étoiles. Le sphinx à double usage, il est et il reste le gardien du temps et du temple céleste spirituel. Nul ne sait réellement, si il garde enfouit sous lui une grande bibliothèques comprenant des archives de cette fabuleuse civilisation décrivant le tourbillon de la vie. Cette hypothèse ne semble pas farfelue, mais il est évident que ce secret reste bien gardé par le lion de Gizeh. Car, il s'agit bien là d'un Lion, pas d'une sculpture égocentrique représentant un roi narcissique, la taille de cette face emplie d'égo est venue défigurer le sens profond de l'original. D'ailleurs avec un peu d'ouverture d'esprit on peut facilement voir la différence de proportion entre la tête et le corps, la modification est flagrante et elle défigure le gardien mastodonte. Pourquoi le lion ? Le sphinx voit défiler devant ses yeux le cycle incarnatoire de 26 000 ans, cycle qui débute par la constellation du lion et qui finira par la même constellation, le lion est le début et la fin, il est l'alpha et l’oméga. Une thèse insolite décrit qu'ils ont voulu nous prévenir d'un grand danger, en construisant ce site et en marquant particulièrement le cycle par le regard du sphynx. Certains hommes voient donc le plateau de Gizeh comme une grande horloge qui dépeint le compte à rebours d'une immense catastrophe à l'échelle planétaire qui se déroule tous les 26 000 ans. Les hommes font décidément la même erreur, ils ignorent souvent la spiritualité, ce cycle est un cycle incarnatoire, l'homme devrait écouter son coeur pour mieux traduire l'histoire. De plus, cette civilisation n'avait peut-être pas comme première intention le désir de prévenir le futur cycle, ils avaient le soucis d'être en accord avec eux même voir plus, ils ont su comprendre la vie tout simplement. Ils ont sorti de terre le plateau de Gizeh comme nous avons construit le mur de Berlin, sauf que eux avaient du bon sens, nous, nous en avons beaucoup moins. L'homme qui croit qu'ils ont construit uniquement cela pour nous fait fausse route, le plateau de Gizeh est "un héritage" important pour notre cycle et il nous aidera sans doute à l'avenir.

Le parc d'Uluru est l'un des sites touristiques les plus visités, centre géographique de l'Australie dans le sud du territoire du nord. Il est le siège du célèbre Ayer's Rock, lieu sacré et symbole des légendes aborigènes. L'Ayer's Rock est le plus gros rocher à la surface de la Terre, avec sa circonférence de 9.5 km et sa hauteur de 348 mètres. Tel un iceberg, seul un dixième de sa masse émerge. Il est situé à 400 km au sud d'Alice Springs et 2 000 km au dessus de Darwin. Ayer's Rock est un site hors du temps, il a environ 600 millions d"années. Connu des aborigènes depuis toujours, ce n'est qu'en 1872 qu'un européen l'aperçut pour la première fois. Le site porte le nom du premier ministre d'Australie Méridionale, Henry Ayer's, nom donné sans savoir que le rocher était déjà connu des aborigènes sous le nom d'Uluru. Ce monument est inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1987. Les tribus aborigènes Anangus à qui appartient la région d'Ayers Rock en ont reçu la propriété officielle et définitive en octobre 1985. Ils l'ont louée en retour au gouvernement pour 99 ans. Selon la direction de la lumière, ce monolithe prend différentes couleurs telles que rouge ou marron, il vire au carmin puis au violet au coucher du soleil, revêtant un aspect si poétique et envoûtant. Mais Uluru est avant tout un lieu sacré pour les aborigènes. Ils lisent des histoires dans son paysage, et vous les racontent si vous prenez le temps d'écouter. Les aborigènes parlent d'une légende qu'ils appellent "Le temps des rêves", le monde aurait été formé par des grands ancêtres. Ils existaient avant, assoupis dans un sommeil éternel, et s'éveillèrent pour former le monde. Cette époque est connue sous le nom d'Alchéra, Alchéringa ou le Temps du Rêve . C'est durant cette période que les Grands Ancêtres vont modeler le monde au gré de leurs voyages : ils façonnent les montagnes et les rivières, ils laisseront derrière eux les esprits des futurs hommes à naître. Les Ancêtres ne créèrent pas le monde, mais ils se contentèrent de le transformer à partir de quelque chose de préexistant. Lorsque les Ancêtres furent fatigués de leurs voyages, ils retombèrent dans leur sommeil d'origine, disparaissant dans le sol, ou se métamorphosant en rochers, en arbre qui deviendront par la suite des sites sacrés . Seuls les initiés peuvent s'en approcher après avoir accompli les rituels nécessaires.Non seulement les Ancêtres formèrent le monde, mais aussi ils créèrent la civilisation, dotant l'homme de ce qu'il devait savoir pour survivre, mais aussi s'élever spirituellement. Et ils édictèrent une loi : " Voici votre pays ; vous ne devez jamais le quitter, et toujours veiller à ce qu'il reste inchangé. " Dans l'esprit aborigène, l'homme appartient à la terre, et non l'inverse. Les aborigènes parlent aussi du grand dieu serpent ayant vécu au temps des rêves lorsque seuls les dieux peuplaient la terre. Le serpent ou le reptile est souvent utiliser sous toute ses formes et pas que par les aborigènes. Au Mexique avec le fameux serpent à plume des Mayas (Kukulkan ou Quetzalcoatl), en Égypte avec le serpent des mauvaises forces de la nuit (Apophis), en Asie avec les serpents chimériques (Nâga), en Chine et en Indonésie avec le dragon protecteur. L'utilisation de la métaphore déifiée du serpent à travers la planète, semble aussi contagieuse qu'un amour transi. Cela ne doit pas être du à une envie de créer une mythologie effrénée, ne soyons pas naïf. Il est plus que probable que les civilisations concernées, ont voulu représenter quelque chose qu'il ne pouvait décrire avec des mots qu'il ne connaissait pas encore : peuple des étoiles ou communément appelé extraterrestres.

Ngog Lituba est un monticule rocheux situé au pays Bassa et Bati, dans le district de Nyanon, au nord du département de la Sanaga Maritime. Ngog Lituba signifie étymologiquement "rocher percé". Il s'agit d'un immense rocher situé dans le département du Nyong et Kellé dans la province du centre au Cameroun. Le cœur de la grande forêt est traversé par la Sanaga aux eaux impétueuses qui dans un grand fracas s'écrasent sur le rocher sacré de Ngog Lituba. Ce rocher, dont l'orifice donne sur un tunnel, c'est le Rocher Percé, qui abrite de multiples souvenirs sacrés du Peuple Bassa. Ngog Lituba ressemble à une roche volcanique insolite, isolée au milieu d´une plaine plate et paisible qui s'étend sur plusieurs kilomètres, mais il n'y a aucune trace de cratère, à moins de considérer l'immense plaine qui l'entoure comme un cratère météorique. En effet, Ngog Lituba pourrait être une roche météorique aux dimensions extraordinaires. Si nous considérons que, quand les objets pénètrent de l´espace dans l´atmosphère terrestre, ils sont soumis à des frottements intenses qui produisent des températures suffisamment élevées pour faire fondre les matières rocheuses, nous pouvons remarquer, quand on monte dessus, qu'à certains endroits la roche est comme enflée, pleine d´air. A d'autres endroits, on peut même voir des empreintes préhistoriques de pieds humains évidemment imprimées dans la matière encore molle. L'origine du peuple Bassa est liée à Ngog Lituba et à sa signification sacrée. Dans les légendes et les mythes transmis en Afrique, Ngog Lituba est considéré comme le berceau des peuples Elog-Mpo'o, Bassa, et du groupe Bati. Le mythe se rapportant à Ngog Lituba est déterminant et fondamental pour la culture de ces peuples qui de plus en plus effectuent des pèlerinages dans la grotte sacrée pour y commémorer leur histoire et enseigner aux descendants leur tradition jusque-là restée secrète, qui est détenue par quelques initiés. Des traditions concernant Ngog Lituba affirment qu'à l'origine des temps, se manifesta le dieu vivant Nyambé, l'ancêtre des ancêtres. Celui-ci créa les esprits, le premier couple humain qui n'avait pas de nombril et l'immense forêt dans laquelle il plaça le grand rocher Ngog Lituba. Le couple humain engendra sa progéniture qui constitua avec le temps une population abondante et heureuse. Nyambé vivait entre eux et leur dispensait sa connaissance en les protégeant contre les maladies et la mort. L'orifice dans le rocher était sa maison. Autour du dieu, les hommes vivaient dans la paix et la prospérité. Quand les hommes, âgés ou malades, allaient passer neuf jours aux pieds du "Singue", un petit arbre qui avait été planté par Nyambé lui-même, ils recouvraient la santé et une jeunesse renouvelée pour recommencer une nouvelle vie. Malheureusement, quand le peuple devint une masse insoutenable, des hommes commencèrent à contester le rôle du dieu et, soutenus par leurs partisans, ils commencèrent à réclamer leur volonté de guider spirituellement les hommes à sa place. Respectant leur volonté, le dieu leur laissa la place. Avant de quitter les hommes il se présenta pour les exhorter une dernière fois. Il montra un faisceau de branchettes retenues par un lien et il expliqua que ce faisceau, c'est-à-dire l'unité du peuple, ne pouvait être brisé même pas par le plus fort des présents, alors qu'une branchette seule pouvait être brisée facilement par n'importe qui sans problème, et il les invita à rester unis pour continuer à vivre dans la paix et le bonheur. Puis il partit et quitta le monde des hommes, en s'éloignant vers l'ouest. Ngog Lituba n´est d´ailleurs pas la seule roche météorique connue sur terre qui soit liée à d'anciens mythes d'événements extraordinaires du passé en rapport avec les racines de l'humanité. Il en existe aussi en Australie, dans certains États des États-Unis et dans bien d'autres pays. En Australie, il y a Uluru, la montagne rouge considérée sacrée par les Natifs australiens, qui s'élève au cœur du continent. Un ensemble qui, par sa signification, évoque celui d'Externsteine dans la Forêt Noire, en Allemagne, symbole spirituel de nombreux Natifs européens. Le caractère sacré de Ngog Lituba fait aussi penser au Mount Graham, ou "Dzil Nchaa Si An", la montagne sacrée des Apaches de l'Arizona. Ou au "Pic d'Adam", dans l'Île de Ceylan, où l'empreinte d'un pied humain est attribuée à un dieu par les traditions. Ngog Lituba comme tant d'autres lieux telluriques porte son lot de secrets qui seront sans doute un jour offerts à l'humanité, patience....

En conclusion, tous ces lieux telluriques ont des points communs. Tous ces lieux portent ou cachent en eux des secrets qui pourraient libérer l'esprit de l'humanité, ils sont notre passé, notre présent et notre futur. Ils marquent ainsi des vortex qui mènent vers d'autres dimensions, ils poussent aussi notre réflexion au-delà des frontières matérielles. Ils sont le lien qui nous unit au visible et à l'invisible, ils tissent un fil interdimensionnel entre la terre et le ciel, mais aussi sous terre. L'Agartha n'est pas une légende, car ses lieux telluriques sont là pour témoigner de son existence, ils sont là comme des repères visuels soigneusement gradués pour nous indiquer le bon sens de la marche et le bon chemin à trouver pour épurer notre âme. N'ayons pas peur, car le jour viendra ou l'humanité retrouva la route qui mène à l'Agartha, l'humanité rejoindra avec joie la cité oubliée qui est Shambhala.

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