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"Libérez votre esprit, écoutez votre coeur"

Blog - Spirituel & Esotérique

La cité oubliée (partie 2).

Publié le 16 Octobre 2013

La cité oubliée  (partie 2).

Si la cordillère des Andes nous a fait rêvé plus jeune en regardant les mystérieuses cités d'or, elle renferme des secrets que ne peuvent toucher l'homme, ni avec ses yeux et ni avec le bout des doigts. Sur le versant oriental de la cordillère des Andes se trouve la Cueva de los Tayos, elle est située à 800 mètres d'altitude et l'entrée principale se trouve dans la forêt au fond d'une vallée aride. Il y a trois entrées, mais c'est la plus importante qui fascine, avec un puits profond de 65 mètres qui mène à 4,6 kilomètres de spacieux couloirs et une salle mesurant 90 mètres sur 240 mètres. La grotte s'étend sur une hauteur de 201 mètres, son point le plus bas finissant par un curieux siphon. Les Indiens Jivaro descendaient dans cette grotte au printemps pour recueillir les oisillons du guacharo des cavernes nocturnes, elle est aussi connue pour avoir été visité par les chercheurs d'or et des militaires dans les années 1960, nul doute que ces derniers sont allés là bas en touristes. En 1973, Erich Von Däniken dans son livre «L'or des dieux» écrit que Juan Moricz aurait exploré la Cueva los Tayos en 1969 et y aurait découvert de l'or, des sculptures étranges et une bibliothèque métallique. Juan Moricz pensait que tout ça était un héritage qui nous était destiné et que la bibliothèque métallique renfermait des secrets qui pouvait s'avérer être de judicieux conseils pour nous aider à évoluer. En 1976, Stan Hall accompagné d'une fabuleuse équipe dont l'ancien astronaute Neil Armstrong part explorer la Cueva los Tayos, ce sera la plus coûteuse exploration de cette grotte, les fouilles ne donneront rien de positif ou pas grand chose. Le chercheur principal rencontrera la source indigène de Moricz, qui affirma qu'ils avaient enquêté sur la mauvaise grotte et que la vraie était secrète. L'homme est parfois très naïf, il croit qu'il peut débarquer avec ses bottes de sept lieues, découvrir, embarquer tout ce qui lui tombe sous la main. Si Juan Moricz a vraiment vu ce qu'il prétend avoir découvert, c'est qu'il avait le cœur pur et qu'il méritait cela, sachant que ses intentions n'étaient pas diaboliques. N'oublions pas le Père Crespi et sa fabuleuse collection d'objets archéologiques très étranges que lui apportaient un à un des indigènes de la régions, objets qui venaient tout droit de la Cueva los Tayos, c'est de ça qu'est partie la mèche qui a mit le feu aux poudres. Un beau jour, la collection du Père Crespi a disparu miraculeusement, on dit qu'il y avait du vrai mais aussi du faux parmi tout ces objets.. N'était-ce pas le bon moyen d'en faire un mythe ?

Quand on avance une théorie sur une possible terre creuse, on a juste l'impression de prêcher dans le désert et c'est peu dire, car une étendue désertique comme le désert de Gobi laisse de marbre l'ignorant, pour lui ce n'est qu'un désert. Le désert de Gobi est une vaste région désertique comprise entre le nord de la Chine et le sud de la Mongolie, le Gobi s'étend sur 1600 km du sud-ouest au nord-ouest et sur 800 km du nord au sud, sa superficie est de 1 300 000 km². Ce qui en fait le plus grand désert du monde. Son altitude moyenne de plus de 1 000 mètres, provoque des étés caniculaires et des hivers glaciaux, soit un écart de températures de 90°C entre les deux saisons. Il englobe environs un tiers de la surface de la Mongolie. Le bassin désertique est délimité par les montagnes de l'Altaï, la steppe de Mongolie, le plateau Tibétain et la pleine du nord de la chine. Au sens propre, le mot «gobi» (gov) désigne en Mongol un territoire semi-aride (le désert est appelé tsöl) en forme de grande cuvette (racine eurasienne, gob signifie «creux, concave»). Contrairement à l'image d’Épinal qui poursuit les déserts, le Gobi est un iconoclaste car il est davantage recouvert de pierre que de sable. Le Gobi offre ainsi une multitude de paysages, il y a de vastes pleines, d'imposantes chaînes de montagne et aussi des dunes. Les nuances de couleurs variant de l'ocre à l'or au vert des prairies flamboyantes habillent le désert de Gobi d'une parure sans égal, seuls ses habitants «les nomades» profitent du spectacle. Dans le canyon de Yollin Am, on peut voir des blocs de glaces au mois de juillet, le bassin de Nemegt dans le nord-ouest du désert, source de nombreuses espèces de fossiles, y compris de dinosaures est appelé «la vallée des dragons»., l'eau et le feu réunis presque côte à côte, Kukulkàn le maître des quatre éléments hanterait t-il le désert de Gobi ? Parlons de la primhistoire de Gobi, nous la devons à l'historien Jean Roy. Dans la vallée de l'Hindus, il y a fort longtemps, la haute civilisation du peuple archaïque des Dravidiens, s'épanouissait, puis absorbait quelques années plus tard les Mélanides. Les Mélanides étaient originaires du bassin du Tanin vers le Lob-Nor actuel Sikiang. Ils apportèrent aux Dravidiens la connaissance de la numérisation décimale du système dit «Arabe» (lequel fut beaucoup plus tard transmis aux occidentaux au moment des invasions Arabes). Les Dravidiens surnommèrent les Mélanides «Naaghals» ce qui signifie «haut frères », cela semblait sous entendre qu'ils venaient des régions montagneuses de Karakorum où se dressent des sommets de 7000 à 8600 mètres. Chez les Mélanides, seul les «Connaissants» avaient le secret du système décimal, ils ne prétendaient pas en être les inventeurs mais seulement les dépositaires. En ce cas, qui leur a transmis ce savoir, sur ces plateaux désolés et deux fois plus élevés que le Mont-Blanc ? Des traditions lointaines assurent que la science des Mélanides leur avait été révélée par des êtres venus du ciel, qui avaient débarqué de machines spatiales, dans l'île blanche de Gobi. Cette île existe encore de nos jours, elle serait le mont Atis, situé à 600 km au nord-est du Lob-Nor, dans le Djasactou-Khan. C'est là, à 20 000 km de distance que nous trouvons le désert de Gobi où règne un tabou, on y décèle, après les tempêtes de sable, des émergences de cités dont l'origine se perd dans la nuit des temps. De ces régions aujourd'hui désolées, émigrèrent jadis des peuples comme les Mélanides, en possession de sciences inconnues des autres hommes. Mélanide est le surnom qu'on a donné quelquefois à la déesse Vénus, Vénus est aussi une étoile, décidément les astres ne brillent que pour les hommes !

Il est bien compliqué de trouver des informations ufologiques et ésotériques, sur la grotte de la Sybille de Colchide et sur la grotte de la Sybille de Cumes, mais si ces endroits sont inscrits dans la route qui conduit à l'Agartha c'est qu'ils ont une certaine importance. Les Sibylles étaient des prophétesse, elles étaient considérées comme des émanations de la sagesse divine, aussi vieilles que le monde, et dépositaires de la révélation primitive : elles seraient à ce même titre le symbole de la révélation. Il y avait douze sybilles, comme il y avait aussi douze apôtres autours de Jésus-Christ, étrange coïncidence n'est il pas ? En tout cas on retrouve des peintures et des sculptures de ces Sybilles dans des églises, étonnant qu'un tel mythe soit mis autant en valeur dans un lieu religieux. Les origines de ce mythe sont incertaines, on a pu les chercher dans le monde Indo-européen, par analogie avec des termes sanskrits par exemple, aussi bien que dans la Mésopotamie antique. A défaut de lire dans le marc de café ou de voir l'avenir dans une boule de cristal, on peut avec son instinct lire dans le passé et cette histoire de Sibylles ne semble pas très claire. Tout ce qui dépasse la conscience humaine est toujours tourné en dérision comme si l'homme n'est capable de rien, comme si l'homme n'était simplement là que pour servir ses semblables les plus puissants. La peur guide ces manipulateurs de l'ombre, ils ont peur de perdre le pouvoir qu'ils ont depuis des siècles, ils ne libéreront pas la connaissance car ils n'ont pas la moindre idée de ce que tout cela représente, ce sont des ignorants et nous sommes les points d'interrogations. Est-ce que les sibylles ont laissé derrière elles des révélations importantes pour l'humanité ? Les termes sanskrits qui parlent d'elles, ont-ils un lien avec la réincarnation ou la méditation ? Il est vrai que les indices sont minces, mais ils valent la peine qu'on se pose les bonnes questions. La grotte de la sybille de Colchide se trouve plus précisément dans l'ancienne Géorgie, dans l'ancienne géographie, la Colchide, Colchis ou Kolchis est un ancien état, royaume puis région géorgienne, qui a joué un rôle important dans la formation de la culture ethnique du peuple géorgien. Le terme « Colchique » est utilisé pour désigner l'ensemble des anciennes tribus qui vivaient sur la côte orientale de la mer noire, c'est peut-être de ce coté là qu'il faut chercher le mont Atlas où se situe la grotte de la sybille de Colchide, cela semble plausible. Bizarrement, il n'y a pas de trace du mont Atlas ni sur Wikipédia, ni ailleurs, il est donc difficile de se faire une opinion sur cette grotte, sans en voir la moindre photo et la moindre donnée historique. Ont-ils trouvé une possible entrée de l'Agartha et veulent-ils donc nous cacher un héritage important en tenant sous silence une telle preuve ? La Colchide est donc nourrie de pas mal de légendes, « Jason et la Toison d'Or » est né dans cette contrée et il paraît aussi que ce pays était le pays des « Amazones », décidément la Géorgie est un pays où l'on fait naître facilement des légendes ! Cumes est une ancienne cité de la Grèce antique, situé au bord du golf de la Gaète (mer Tyrrhénienne), à 12 km de Naples, en Campanie. Ce grand site archéologique contient de fabuleux vestiges dont le plus illustre est l'antre de la Sibylle. La Sibylle de Cumes est la plus importante des douze Sibylles de la Grèce antique. Comme la grotte de la Sibylle de Colchide, la grotte de la Sibylle de Cumes ne laisse que très peu de pistes. Mais, elles ont toutes les deux un point commun capital, l'avenir, les Sibylles était sans doute apte à prédire le futur. Si il est compliqué de savoir, si il y a vraiment des ouvertures qui mènent à l'Agartha à ces points précis de notre belle planète, nous avons la certitude que les Sibylles nous ont ouvert des portes qui nous plongerons un jour dans un autre temps.

Les indigènes,les aventuriers qui ont vu bien avant nous les chutes d'Igazù, ont du être subjugués par cette force de la nature, l'explorateur espagnol Alvar Nùnez Cabeza de Vaca est le premier Européen qui a put aussi assister à ce spectacle naturel. Situé au cœur de la forêt tropicale, entre la frontière de l'Argentine et du Brésil se trouve cet écoulement d'eau fantastique que l'on nomme les chutes d'Igazù ou chutes d'Iguaçu ou encore les chutes d'Iguassu (Iguaçu en guarani signifie « Les grandes eaux »), en 1984 « Les grandes eaux » seront inscrites au patrimoine mondial par l'UNESCO. Il ne s'agit pas là, d'une seule et même chute d'eau qui serait comme un soliste, mais d'un ensemble de 275 cascades qui forment une chorale mémorable qui s'unit sur 3 km. Pourtant une d'entre elles domine tout cet ensemble harmonieux (en forme de U, 700 mètres de long, 150 mètres de large et 82 mètres de hauteur), on l'appelle la Garganta del Diablo en espagnol ou Garganta do Diabo en portugais, traduction : « gorge du diable ». Est-ce que nos ancêtres espagnols et portugais ont vu des lumières étranges ou des OVNIS rentrer dans cette cascade pour la nommer ainsi ? Voilà, un surnom propice à un questionnement passionnant. Ces chutes interrompent le cours de l'Iguaçu, comme elles semblent aussi interrompre le cours du temps, pour nous plonger avec elles dans une réflexion intemporelle. Réflexion que doit poursuivre, Ariel Suarez (29 ans), témoin d'une vision colorée dans le ciel des chutes d'Igazù. Nous sommes le mercredi 19 février 2011, dans les environs du district de Santa Rosa, Ariel Suarez profite de la chaude soirée avec sa petite amie. Vers 2 heures du matin, un OVNI apparaît dans le ciel, il se déplace en zigzagant, c'est objet est très lumineux et il change de couleur de manière constante. Surpris, excité, mais très curieux, il s'active pour rechercher son téléphone cellulaire, avec l'aide de cette technologie, il filme ce moment magique. Ariel Suarez déclarera : « L'image a duré environ une minute, puis il a disparu dans le ciel comme si quelque chose l'avait absorbée ». Août 2012, Celina originaire de la petite ville de Rosario del Tala (située prêt de Concepcion del Uruguay), est venu pour admirer les magnifiques chutes d'Igazù. Immergée par ce lieu féerique, elle ne peut se retenir de prendre des myriades de photos. Elle ne relève rien de particulier dans l'instant. Ce n'est qu'en rentrant chez elle à Concepcion, qu'elle regarde ses clichés, surprise, elle découvre une étrange et inhabituelle petite tâche sur une photo. Cette « tâche » s'est avérée être un OVNI. En zoomant sur celle-ci, on se rend compte qu'il s'agit d'une soucoupe volante surmontée par une lumière rouge ! Celina a montré cette photo à des proches cherchant une véritable explication à cet intrus et personne n'a réussi à répondre à cela. Les chutes d'Iguazù semblent mettre ce grand voile d'eau devant nos yeux, pour que nous cherchions à voir au de là de ses cascades....

Le parc national Américain de Mammoth Cave a été créé le 1er juillet 1941, il est situé au centre de l'état du Kentucky, dans la région nommée plateau Pennyroyal à une altitude proche de 205 mètres. Il s'étend sur 214 km² dans le bassin de la Green River, à cheval sur le comté d'Edmonson, de Hart et de Barren, cette rivière est un affluent de la rivière Ohio qui est elle même un important affluent du fleuve Mississippi. Il comprend une parti du « Mammoth Cave System », qui est de loin le plus grand réseau sous terrain au monde. avec près de 600 kilomètres explorés de galeries. L'origine du nom de la grotte, provient donc de sa taille et n'a aucun rapport avec l'animal préhistorique. la géologie karstique du plateau Pennyroyal et la rivière Green réunissent sur 214 km² les conditions idéales pour un écosystème riche, avec près de 200 espèces animales et de 1 300 espèces végétales, parmi lesquelles on trouve plusieurs espèces en voie de disparition ainsi que des espèces ayant évolué pour s'adapter à l'environnement sombre des grottes. Site d'une incroyable valeur géologique et écologique, il est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis le 27 octobre 1981 et classé réserve internationale de biosphère depuis le 26 septembre 1990. De nos jours, le système est ainsi composé de galeries qui s'étendent sur plus de 591 km, chiffre qui est revu à la hausse chaque année au gré des nouvelles découvertes et des connexions. Mammoth Cave laisse songeur, ce labyrinthe de galeries aussi long qui s'allonge chaque année, laisse à penser qu'il y a là, anguille sous roche, l'Agartha n'est pas loin. Au XIXe siècle et XXe siècle, des restes humains d'amérindiens ont été mis au jour à plusieurs reprises dans le parc de Mammoth Cave ou dans ses environs, notamment une momie découverte en 1813 et surnommée « Short Cave Mummy » (littéralement, « momie de la petite grotte »). Dans la plupart des cas, ils ont retrouvé des signes indiquant que les momies ont été enterrées intentionnellement, selon les pratiques funéraires de l'époque pré-colombienne. Ce qui est merveilleux avec ce genre de découverte, c'est qu"on reste toujours sur sa faim, il y a des momies pré-colombienne enterrées sur ce site de manière intentionnelle.... Intentionnelle ! Et eux, et bien, ils ne creusent pas plus loin, ils nous laissent gentiment dans l'expectative, légitime qu'on s'interroge sur un fait historique qui n'est pas du tout expliqué en profondeur. Pourquoi les ont-ils enterrés à cet endroit précis, sommes-nous en présence d'un rite religieux ou spirituel ? Mammoth Cave n'en dit pas plus, elle n'est pas très bavarde, elle ne se laisse pas lire facilement, mais elle nous offre une chose essentielle « le questionnement ».

Le Brésil n'est pas qu'une terre conquise par le christianisme, le Brésil est aussi un pays conquis par le phénomène OVNI. En effet, un gros pourcentage de Brésiliens est convaincu par l'existence de ces objets volants, ainsi que par la présence d'extraterrestre dans notre ciel et sur notre terre. Manaus et le Mato Grosso, n'échappent pas à l'histoire ufologique de ce grand pays qui est le Brésil, il faut dépouiller les faits pour mieux apprivoiser toutes les probabilités qui peuvent nous faire voyager vers un autre horizon. Manaus (Manaos en français) est la capitale de l'état de l'Amazonas au Nord-Ouest du Brésil. C'est également la plus grande ville de l'Amazonie. La ville a été fondée en 1669 par les Portugais, sur les rives du Rio Negro et à proximité de son confluent avec l'Amazone. Elle comptait 1 982 179 habitants au recensement de 2013 et 2 316 173 à la région métropolitaine. Manaus avec son parc industriel est la plus importante métropole du Nord-Ouest du Brésil. La municipalité s'étend sur 11 401 m². La métropole de la jungle, possède une infrastructure sophistiquée d'hôtellerie alliée à un ensemble d'architecture d'importance historique qui fait de Manaus l'une des villes les plus originales du pays. Mais, Manaus est surtout la porte d'entrée de la plus grande forêt tropicale au monde. Manaus abrite aussi le Centro de Intruçao de Guerra Na Selva (GIGS, Centre d'instruction de la guerre dans la jungle), créé en 1964. Disposant de zones énormes, le GIGS selon son site officiel participe aussi à des missions environnementales et à la recherche scientifique , bien qu'il se donne encore comme mission de promouvoir la « mystique du guerrier de la jungle », bizarre comme c'est bizarre.... D'autant plus curieux, que ces recherches scientifiques tournent autour de l'entomologie, l'entomologie est la branche de la zoologie dont l'objet est l'étude des insectes, une zone militaire aussi importante juste pour étudier des insectes, est-ce une réalité ou une couverture pour cacher quelque chose de plus grand ? En 1974, un OVNI de grande taille en forme de papillon émanant une intense lumière de l'intérieur, se déplace avec légèreté et sans bruit. Il est aperçu dans le ciel étoilé de la ville de Manaus, l'OVNI poursuit ensuite son chemin vers le Rio Negro, cet objet volant est vu par une grande partie des habitants de la ville cette nuit là. En 2011, une vidéo grotesque fait son apparition sur le web, on y aperçoit un pseudo extraterrestre émergeant de la forêt tropicale Brésilienne de Manaus. L'alien est proche d'un arbre, derrière lui une lumière jaillit momentanément, cette vidéo aurait été tournée par deux touristes Britanniques visitant la région de Manaus. Pas besoin d'être Sherlock Holmes pour se rendre compte que cette vidéo n'est qu'une vaste plaisanterie, il suffit de voir la réaction des enfants qui se foutent royalement de ce qu'ils voient dans l'instant, ils restent stoïques et on les comprend. On peut aussi imaginer que ce fake n'est pas anodin, qu'il contribue à tourner en ridicule les sujets OVNIS et extraterrestres. Voilà, une tentative flagrante pour faire courir une propagande qui vise à décrédibiliser Manaus, haut lieu d'apparition d'OVNIS. Le Mato Grosso est l'un des états amazoniens situés dans la partie occidentale du Brésil. Mato grosso se traduit « grande brousse ». Il est l'une des zones les plus riches en biodiversité, mais il est fortement touché par la déforestation, la fragmentation écologique par les routes et par l'agriculture intensive. Il est également l'objet de reboisement durable. Les États voisins sont (de l'ouest dans le sens des aiguilles d'une montre) Rondônia, Amazonas, Parà, Tocantins, Goiàs et Mato Grosso do Sul. Ce dernier état, Mato Grosso do sul est aussi énigmatique que le Mato Grosso, avec des paysages troublants, comme à Três Lagoas ville étonnamment bordée par trois lacs ou encore avec le Morro de Ashtar qui semble être un croisement du Bugurach et dUluru. Le Mato Grosso comprend des paysages variés peu communs, il y a la Serra do Roncador massif montagneux qui s'étend sur 600 km et aussi le parc national de la Chapada dos Guimaraes où on trouve un massif montagneux avec de jolies cascades, ainsi que d'importantes grottes creusés dans le gré avec notamment la Gruta Aroe-Jari qui signifie « Grotte de la résidence des esprits ». Le Mato Grosso ne fait pas parler que de la beauté de son paysage, il fait surtout parler d'événements qui se passent essentiellement dans les cieux. En 1992, Jimmy Guieu rapporte dans un de ses livres qu'un dénommé Florisval de Jesusa aurait rencontré des extraterrestres lors de son service militaire. Un soir de 1975 vers minuit, de garde à Salta Osario (Mato Grosso). Il aurait vu une lumière éblouissante qui a ensuite diminué d'intensité en lui laissant distinguer un appareil étrange et deux hommes portant des vêtements métallisés. Il aurait entendu là, une voix d'un extraterrestre lui dire : « Nous viendrons te chercher le 4 mai 1976 à 7 heures du matin, au Mata Burro », un passage reliant les deux bords d'une faille d'une fazenda. Il se trouvait le 4 mai 1976 à la ferme d'élevage Agropecuaria Planalto, et aurait effectivement disparu à 7 heures du matin. Son entourage n'avait pas pris très au sérieux le récit du premier avertissement, et a commencé par le rechercher seul, puis aurait demandé de l'aide de la police, et il aurait été localisé à 18 heures par un avion de l'armée à 50 km de l'endroit d'où il avait disparu, avec une cheville cassée et ne pouvant plus parler. Retrouvant la parole une semaine plus tard, il aurait raconté qu'il avait été amené à bord d'un appareil et qu'au retour il s'était cassé la cheville en sautant d'une hauteur de 4 mètres, l'engin qui le ramenait n'ayant pas pu descendre plus bas pour le déposer. Le 1er Juin 1997 dans le district de Teresopolis près de New Brasilândia (Mato Grosso), une petite municipalité comptant 7000 habitants est surprise par un événement inhabituel qui va la sortir de sa paisible routine. Nous sommes un beau dimanche de juin, beaucoup de gens sont dehors à prendre l'air en bavardant assis sur leurs terrasses ou devant leurs maisons. Quand une boule de feu traverse soudainement le ciel de la ville, les habitants médusés observent alors un incendie qui a transformé la nuit en jour et a duré environ une minute. Quelques instants plus tard, une énorme détonation a été entendue dans un rayon de 100 km. L'agriculteur Bénédicte Pereira a eu tellement peur qu'il dit : « qu'il lui est impossible d'oublier cette nuit » et il rajoute : « J'étais allongé et j'ai vu le flash peu à prés le bruit et ma maison a tremblé ». Le 13 novembre 2011 à New Xanvatina (Mato Grosso), un avocat prend des photos du ciel, sur le coup rien de particulier. Mais une fois les photos mises sur un ordinateur, une chose étrange est là sur une des images. Un objet ressemblant à une soucoupe volante, un OVNI de forme arrondie avec une queue lumineuse. Ce fait a généré beaucoup de discussions dans cette ville, divisant l'opinion comme d'habitude. Mais ce n'est pas la première fois qu'un OVNI est vu dans le coin, le 26 mai 2010, une étrange lumière, horizontale en forme de disque, à été observée dans les villes du nord et du Canabrava Confresa. Manaus et le Mato Grosso montrent à eux deux qu'il y a des frontières au de là du réel au Brésil, qu'il faut aller nous même au de là de ces frontières pour avoir la foi et seulement la foi !

La cité oubliée  (partie 2).
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